Plus de 6 000 villes surveillent désormais la qualité de l’air

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Publié le 11 avril 2022

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C’est un nombre record ! Plus de 6 000 villes dans 117 pays surveillent actuellement la qualité de l’air selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cette dernière toutefois, constate que les habitants respirent encore des concentrations insalubres de particules fines et de dioxyde d’azote.

Publiée avant la Journée mondiale de la santé, la mise à jour 2022 de la base de données de l’OMS sur la qualité de l’air introduit, pour la première fois, des mesures au sol des concentrations moyennes annuelles de dioxyde d’azote (NO2), un polluant urbain commun et précurseur des particules et de l’ozone.

Il comprend également des mesures des PM2.5 et des PM10, qui proviennent toutes deux principalement d’activités humaines liées à la combustion de combustibles fossiles.

La base de preuves des dommages causés par la pollution atmosphérique au corps humain a augmenté rapidement et indique des dommages importants causés par des niveaux même faibles de nombreux polluants atmosphériques.

L’année dernière, l’OMS a révisé ses lignes directrices sur la qualité de l’air, les rendant plus strictes afin d’aider les pays à mieux évaluer la salubrité de leur propre air.

La base de données 2022 vise à suivre l’état de l’air dans le monde et à alimenter le suivi des progrès accomplis dans la réalisation des objectifs de développement durable.

> Retrouver le communiqué de presse de l’OMS et la base de données 2022